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Un civil inconnu

Un drame silencieux, une tragédie assourdissante,
pour entendre sa voix, il faudra donner de la vôtre.

Mauvaises ondes - épisode 1 - 1:28 mn

Illustration de l'épisode 1

Épisode 1 : Mauvaises ondes

 

Quelques grésillements de talkie-walkie introduisent cet épisode. Une petite voix fluette et féminine vient soudainement couper ce bruit de friture.

« Firas, Firas, tu m’entends ? ».

Un petit silence grésillant laisse place à une voix enjouée.

« Tu vois… ça fonctionne ! Je  l’avais dit ! »

« Oui mais si papa m’attrape, je vais me faire gronder »

« Oooh. Mais noon. Il est trop occupé avec tout ce qui se passe dehors »

« Oui… c’est pour ça que Maman me répète tout le temps que « ça va aller ». Mais je comprends bien que ça va pas. Papa est très souvent mal quand il rentre. Je le vois pleurer parfois… Il se cache… mais je l’entends. Hier, la police religieuse est passée pour contrôler les affaires de mamans et de ma sœur… »

« La police… je crois que c’est eux qui passent dans nos classes… ils nous posent des questions sur les armes.  Si ça nous fait peur ou pas… La dernière fois, ils nous ont même fait tirer en l’air dans la cour »
« Dans la cour ?  »

« Oui, dans la cour, avec la maîtresse…Tu crois que je pourrais faire un bon soldat ? »

« Idiot ! Dis pas ça ! Ils font du mal et toi tu veux les aider ? » 

« Oh, je suis pas idiot ! À ton avis, à quoi servent tous ces cours sur les mitraillettes ? Je sais bien que je ne pourrai pas devenir médecin ou… »

« Arrête Firas… moi je veux toujours être une conductrice d’avion. Et je le ferai. J’ai pas peur d’eux ! Et puis… vu comme tu joues à cache-cache,  tu ferais pas un très bon soldat… »

Les deux enfants se mettent à rire. Soudain, une porte s’ouvre avec fracas dans un bruit de bois grinçant.

« Mais… C’est pas possible ! Que fais-tu avec cette radio ??! »

Entré à l’improviste dans la pièce, le père de Sarah la surprend avec le talkie walkie. La voix est empreinte d’un ton dramatique.

« Mais tu veux nous faire tuer ? Le mois dernier avec ta sœur n’a pas suffi ? »
« Mais papa… » répond la petite fille avec des larmes dans la voix.

Des cris extérieurs viennent soudainement la couper. Un sifflement d’ogive, puis deux, puis trois laissent place à de violentes explosions à quelques dizaines de mètres de la maison. Des bruits de fenêtres brisées se mêlent au vacarme assourdissant des bombes et des cris horrifiés à l’extérieur.

Le père empoigne sa fille par le bras.

« Vite ! Dans la cave, dans la cave tout de suite ! »
Une explosion fait vibrer les murs de la maison. S’ensuit un bruit d’éboulement et des cris étouffés .
« Où est maman ? Maman ??! Papa, où est maman ? »
« Nazihaaa ? » hurle le père avant qu’un bruit sourd d’explosion les projette en arrière.

Un larsen strident vient conclure cet épisode.

FIN DE L’ÉPISODE.

Dernier sous-sol - épisode 2 - 2:13 mn

Illustration de l'épisode 2

Épisode 2 : Dernier sous-sol

 

Abîmé par le souffle de l’explosion, le bouton du talkie-walkie pour émettre s’est bloqué. La petite fille ne le sait pas, mais si on peut l’entendre, elle ne peut plus entendre ce qu’on lui dit. L’épisode débute avec un son haletant. La petite fille respire à un rythme élevé. Elle est prise d’une crise de panique.

Le son est quelque peu éloigné puisqu’il est capté par le talkie-walkie.

« Calme-toi. Calme-toi ma chérie. Ça va aller d’accord ? Tu es en sécurité ici. Tu es en sécurité  » lui dit son père d’un ton rassurant et doux.
« Attends, attends-moi sagement dans la cave s’il te plait. Tu ne crains rien ici. Je vais chercher ta mère. Et ta sœur. Surtout, surtout tu ne bouges pas ! » lui dit-il avec insistance.

« Papa, ne… ne me laisse pas seule. S’il te plait. S’il te plait papa… » dit-elle d’une voix sanglotante.

«  Écoute, ma chérie… J’ai besoin… j’ai besoin que tu sois une grande fille. D’accord ? Ton papa a besoin que tu sois forte. Tu… tu comprends ? Tu peux faire ça ? Pour moi ?

Je te promets… je reviens vite. »

« D’a… d’accord » fait la petite fille en reniflant.

On entend les bruits de pas du père qui remonte l’escalier de la cave. La petite fille reprend son talkie-walkie qu’elle manipule dans tous les sens, appuyant plusieurs fois sur le bouton de communication (bruit de bouton plastique). L’objet lâche plusieurs sons de friture.

« Fi-Firas, Firas ?? » long silence radio couvert par une légère friture (3 secondes).
« Firas, je… je sais pas si tu m’entends. Je crois que le talkie est un peu, un peu abîmé… Papa et moi ça va. Je prie pour que tu n’aies rien. » Silence radio de 2 secondes. Une éternité en réalité pour la petite fille.
« Firas… Pourquoi tu réponds pas… J’ai peur… je suis seule… S’il te plait, dis-moi quelque chose. » dit-elle la gorge nouée, avant de laisser un petit silence.

« Papa est parti chercher maman… et Nadia. Tout ça est arrivé vite…  je, j’ai… jamais on a eu des explosions si près de chez nous. Et tout le monde qui hurlait dehors… » elle se met à sangloter.

« J’ai peur… j’ai peur tu sais… il est peut-être arrivé quelque chose à maman. Elle devait rentrer du marché avec… avec mon oncle…. Et s’ils étaient morts ? » petit silence radio. Une série de bips sort soudain du talkie-walkie.
« Firas ? Firas ? C’est toi qui fais ces bruits ? S’il te plait dis moi que c’est toi. T’es là ? Dis moi que t‘es vivant…. » Silence radio. Elle manipule le talkie-walkie pour tenter d’entendre à nouveau les bips (bruit de bouton en plastique). En vain.

« Si tu fais un blague, c’est pas drôle du tout Firas ! »

La porte s’ouvre à nouveau dans un bruit de gravas.

« Ma chérie » entend-on en fond.

« Viens vite ! Il faut qu’on parte d’ici » 

La petite fille met le talkie-walkie dans un sac. On entend un bruit de frottement sur du textile puis un zip. Le bruit se fait également un peu plus étouffé.

« J’arrive papa. J’arrive…. » dit-elle en se rapprochant de son père (bruit de pas et de textile pendant le déplacement).
« Papa ? Où sont maman et Nadia ? »

« Viens avec moi ma chérie… » Dit-il d’un ton triste en faisant une légère pause « je vais t’expliquer en chemin. »

FIN DE L’ÉPISODE.

Une maison trop loin - épisode 3 - 2:05 mn

Illustration de l'épisode 3

Épisode 3 : Une maison trop loin

 

L’épisode débute par des bruits de pas au trot dans un terrain accidenté. Beaucoup de bruits de gravas. En fond, on entend des explosions, des tirs d’armes lourdes et des survols d’avions.

La scène est rythmée par la respiration haletante de la petite fille, ainsi qu’un bruit de frottement qui laisse à penser que les deux personnages sont au trot.

« Papa…Papa ralentit. J’ai de petites jambes moi »

« Je suis désolé ma chérie… Je… On ne peut pas ralentir. Il faut être chez ton oncle dans 5 minutes »

« Pourquoi tu ne me dis rien à propos de maman et… »

Deux avions survolent soudainement leur position. Le père tire sa fille par le bras pour la mettre à l’abri.

«  L’aviation ! Vite, suis moi ! Il faut se mettre à l’abri » On entend un bruit de course mêlé au frottement d’un tissu contre l’appareil. Un deuxième survol d’avion s’ensuit cette fois d’une forte explosion. Le haut d’un immeuble au-dessus de leur tête vient d’être touché (bruit d’avion suivi d’une forte explosion).

« Papaaaa » hurle la petite fille directement coupée par le hurlement de son père dans un chaos d’éboulis assourdissants.
« Couche-toiii ! »
crie-t-il en se jetant sur sa fille. Un bruit d’éboulement conclut ses paroles.

Bruit d’éboulement. Puis silence.
La petite fille pousse des gémissements. Elle se relève, de la poussière sur vêtements.

« Papa ? Papa ça va ? »

« Oui (toux) … oui ça va ma chérie (toux)… Et toi ? Tu n’as rien ? Tout va bien ? Tu as mal quelque part ? » Il se relève et essuie la poussière sur ses vêtements (bruitage).

« Cette voie n’est pas sûre (toux) Tu vois là-bas ?  Le petit abri… près de la boutique de Sawa ? »

« hmmm… oui !  Je vois papa ! »

« Je veux que tu cours t’y réfugier… Le temps, le temps que je cherche une voie moins dangereuse… » lui dit-il en posant un main rassurante sur son épaule.

« Mais… » rétorque la petite fille.

« Il n’y a pas de mais… Tu te souviens ce que je t’ai dit tout à l’heure ? Être une grande fille ? J’ai encore besoin de toi là-dessus. Tu comprends ?… Allez… Va » Il se relève et pointe du doigt le petit  abri à quelques mètres. « Va je te dis. Je veux te savoir en sécurité. »

La petite fille se dirige alors vers le renfoncement en sortant le talkie-walkie de son sac, comme pour se donner de la force.

« Firas… Firas si tu es là, je veux bien que tu me tiennes compagnie. C’est le moment de me parler…Tu parles tout le temps d’habitude… Je sais que tu es là. Tu es trop malin pour ça… » Long silence radio.
« Tu as peur  de me parler à nouveau c’est ça ? »
Elle s’assied sous l’abri.

«  C’est parce que j’ai dit que tu serai un mauvais soldat ? » Long silence.

Une voix s’élève au loin. Le père de la petite fille est déjà de retour.

« J’arrive papa ! » Elle se met à courir dans sa direction (bruits de pas pressés sur des gravas)

« Viens ma chérie… Tu vois les 3 bâtiments là-bas ? En passant à l’intérieur, on tombe directement dans la rue de ton oncle ».

 

FIN DE L’ÉPISODE.

Une voix familière - épisode 4 - 1:41 mn

Illustration de l'épisode 4

Épisode 4 : Une voix familière

 

La petite fille et son père arrivent chez l’oncle. Elle a remis le talkie walkie dans son sac.
« Ma chérie… Tu veux bien faire une dernière chose pour moi ? J’ai… J’ai besoin de rentrer seul pour l’instant chez ton oncle… juste 5 minutes… »

« Tu vas encore me laisser… »

« C’est seulement pour 5 minutes. S’il y a quoi que ce soit, je suis derrière cette porte »
« Bon… D’accord »
dit-elle d’un ton résigné.

Le père ouvre la porte et la referme aussitôt sans laisser entrevoir l’intérieur de la pièce. La petite fille ressort son talkie-walkie.

« Et voilà, je suis encore toute seule. Et toi Firas ? Tu veux toujours pas me parler j’imagine ? » Elle manipule encore l’objet pour tenter de le faire marcher.
« Roooh c’est pas vrai ! Il marche vraiment pas ce truc. Firas, tu aurais pu trouver des bons talkies au moins »
Elle le jette de rage au sol (bruit sourd, larsen strident puis friture). Long silence.
« Tu m’entends ? 1,2. 1,2 »  Soudain, la voix de Firas surgit des entrailles de l’appareil.
« Firas ? »
Entend-on de loin. La petite fille se précipite alors sur le talkie-walkie.

« Firas c’est toi ? C’est… c’est bien toi ? » S’écrie presque la petite fille, n’osant croire ce qu’elle entendait.

« Enfin ! Ca fait 1h que j’essaie de te répondre… mais tu n’entendais pas. Ton talkie ne marchait que dans un sens » dit le garçon à moitié agacé.

« Tu n’as rien ? Les bombes ne t’ont pas touché ? Ma maison et ma rue sont toutes cassées ! »

« Oui… chez moi aussi. Mais un voisin nous a mis à l’abri… J’attends là que… » Une voix hurle derrière, des coups de feu retentissent.

« Firas ? Firas ? » Elle ouvre la porte de chez son oncle.
« Papa, Papa, à l’aide. Firas a des problèmes… »
Elle s’arrête net en laissant tomber ses bras le long de son corps, le doigt toujours appuyé sur le bouton du talkie-walkie (la voix qui suit est éloignée du talkie-walkie)

« Ma chérie… ma chérie » dit son père les yeux baignant et la voix pleine de larme.
« Papa… est-ce que, est-ce que maman dort ? Pourquoi son visage est si rouge ? Papa… ? »
elle se met à sangloter.

« Papa, qu’est-ce qu’ils ont fait à maman ? Pourquoi elle est comme ça ? Papa… »

«  Je suis désolé ma chérie. Ta maman… ta maman nous a quittés. Elle est au paradis maintenant…. Avec ta mamie, ton papi… »

« Ahmed, Ahmed » interpelle l’oncle près de la fenêtre. « Il y a un groupe de soldats qui approche de la maison.»

« Papa, ne laisse pas maman. Pitié. Je veux pas laisser maman » dit la petite fille en sanglot.

« Je, je… » balbutie le père.

« Il faut nous sauver Ahmed ! Ils vont se servir de nous comme bouclier humain. Je ne veux pas finir en chair à canon » le presse l’oncle.

Dans un fracas, la porte d’entrée est défoncée. S’ensuit des tirs de kalachnikov au plafond et des hurlements.

 

FIN DE L’ÉPISODE

L'épisode 5
sera débloqué dans :
  • 03 jour(s)
  • 18 heure(s)
  • 53 minute(s)
  • 12 seconde(s)

La fillette inconnue - épisode 5 - 3:02 mn

Illustration de l'épisode 5

Épisode 5 : La fillette inconnue

 

L’épisode démarre par le bruit d’une manipulation de bouton. La scène se déroule en intérieur.

« Compte-rendu du Dr Richard… Nous sommes le… Nous sommes le 26 septembre.
Procédure en cours : identification des, des patients mineurs de… »
… Le médecin cherche dans ses fiches (Bruits de feuilles) « de Ninuwa… de l’hôpital de Ninuwa ». Petit silence
« Encore un hôpital…? »
chuchote-t-il
« 
(Il se racle la gorge) Identification des patients mineurs de l’hôpital de Ninuwa et des pathologies associées »
« Il est 10:32, nous voyons ce matin une jeune fille arrivée il y a 3 jours. Aucun parent ni famille déclarée pour l’instant. » Il pose le dictaphone sur une table (bruit d’objet posé sur une table).

« Bonjour… Je suis Baptiste. Je suis docteur. C’est moi qui me suis occupé de ta jambe. » Petit silence

« Je sais que ces derniers jours ont été très difficiles pour toi… et tu as été une petite fille très courageuse. »
Petit silence
« Pour que tu puisses retrouver ton papa et ta maman, et comprendre exactement ce qui t’es arrivée, je vais avoir besoin de toi. Tu veux bien m’aider ? »
La petite fille pousse un léger râle.

«  Je sais que tout ça a été très dur. Mais tu ne crains plus rien maintenant. Je suis là pour t’aider. Et toutes les personnes que tu vois autour de toi ne sont là que pour ton bien. »

L’enfant pousse un second râle.
« Est-ce que tu veux bien me donner ton nom. Tu dois en avoir marre que l’on t’appelle petite fille non ? » Long silence.
« Je comprends… Tu ne me connais pas…. Tu ne me fais pas confiance. » Petit silence. Il prend une profonde inspiration.
« Écoute… Voilà ce que je te propose : je vais t’évoquer des situations, des informations que j’ai pu récupérer auprès d’autres personnes qui viennent du même endroit que toi. Si ce que je dis te semble faux, tu me fais non de la tête. Si je dis lvrai, tu me dis oui avec la tête. Ça te va comme ça ? » Silence.
« C’est un oui que je perçois ? » Dit-il, rieur.

« Tu te souviens où tu étais avant d’arriver ici ? Où nous sommes venus te chercher ? »

« Oui ?… Non ? Tu ne sais plus trop hein ? C’est un peu le brouillard, c’est ça ? Ne t’en fais pas, rien ne presse tu sais. » Il clique sur son stylo.

« Bon je vais… je vais t’aider un peu. Tu étais à l’hôpital. J’ai juste ? Ça te revient ? »
La petite fille fait oui de la tête.

« Ah, j’ai juste. Maintenant, j’ai besoin de savoir : est-ce que tu étais là-bas pour voir quelqu’un ? Ton papa ou ta maman étaient là-bas ? Tu… » La petite fille fait non de la tête.
« Non, ce n’était pas pour les voir ? » La petite fille refait non de la tête.
« Tu n’y étais pas pour voir quelqu’un c’est ça ?… Mais quelqu’un t’y a emmené ? »
Soudain, un avion cargo passe au-dessus de l’hôpital  (bruit d’avion de ligne). La petite fille se réfugie dans le coin de son lit en criant.
« Eh, eh, eh… Calme-toi, Calme-toi. Tout va bien. Tu es en sécurité ici. » Dit-il d’un ton doux et  rassurant « Tout va bien. Ne t’inquiète pas. Regarde. Tu vois ? Il n’est rien arrivé.  Ça va. Tout va bien. C’est juste un avion qui vient nous ravitailler. Pour les pansements, la nourriture… et puis pour soigner ta jambe aussi » Silence.
« Tu as peur des avions ? »
La petite fille fait oui de la tête.
« Tu as peur parce que les avions t’ont fait du mal ? » La petite fille fait oui de la tête.

« Tu sais, il y a de vilains avions mais aussi des gentils. Tu vois le monsieur qui était avec toi ce matin ? Celui qui t’as parlé de ta jambe. » Elle acquiesce d’un léger hmm.
« Celui avec la main bleu sur son tee-shirt. Il est arrivé en avion. Tout comme moi. »
Il se racle à nouveau la gorge.
« Lui et moi, on va s’occuper de toi désormais. On va t’aider à être moins triste. Tu comprends ? À retrouver tes parents, ta famille… »
Petit silence entrecoupé de légers sanglots de la petite fille.
« Tu as le droit d’être triste tu sais… Ici, beaucoup de gens sont tristes en arrivant. Et notre travail… mon travail, c’est que ta petite bouille d’ange retrouve un peu le sourire. Tu penses qu’on peut y arriver ? Toi et moi ? On va pas laisser gagner les méchants hein ?»

  

FIN DE L’ÉPISODE

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